http://arthistory.about.com/od/jobs_events_networking/a/Business-Ideas-for-Art-History-Majors.htm

1. Start an Art Tour Service.

Millions of people would be grateful (and pay) to follow a knowledgeable art historian through museum and gallery exhibitions. Advertise for free using Twitter, Facebook and Craigslist.

2. Lecture at Senior Citizen Residences and Centers

Life-long learners greatly appreciate the beauty of art and the uplifting stories of courageous artists. Brighten the hearts of those who may not be able to visit museums easily or at all. Organizing an hour-long Powerpoint presentation is sufficient. Chose subjects with broad crowd appeal, like the Impressionists or women in art.

3. Start an Art Gallery

With a bit of investment from family and friends, plus - if possible - a modest loan from the bank, start your own art gallery. You can begin by selling online (no need to pay rent) and then expand once your artists' sales begin to bring in a steady income.

4. Become an Artists' Agent

Most artists do not have time to market their own art. They need guidance looking for appropriate galleries for their work and then writing public relations material to get noticed. Start with one artist to test the waters.  If you are able to place your artist in a reputable commercial gallery and you have received a commission for your trouble, you will be on your way to helping scores of hopeful artists who need TLC while navigating the gallery system and getting into one.
For more research on commissions and fellow artists agents, look in ArtNews or other similar publications.

5. Become a Freelance Art Critic.

You love art, but can't see yourself selling it. If you can write well, you can become an art critic. To get some experience, start right away by creating your own free blog. Read other critics and blogs to scout out good ideas and also look for gaps in coverage.
Recently Ruth Ross began a blog on the art scene in New Jersey. Her blog is called NJ Arts Maven, and it joins a growing number of arts blogs. Your efforts can also support many arts organization who need the publicity in a low-cost/no-cost format ... and what a rewarding job for you, too!
What Does an Art Director Do?
An art director oversees the art, i.e. the photographs and drawn images, that appear in newspapers, magazines, ad campaigns and on book covers. An art director is usually the person who oversees the entire design department, working with photo editors and editors to coordinate what images will match up with what words.
More than simply assigning a photographer or illustrator to create an image, an art director works on creating visual concepts. At a magazine an art director would work to create the specific look and feel of the entire magazine, ensuring there’s a unified visual look throughout. If you notice that certain magazines maintain different types of “looks” -- with certain layouts and certain types of images -- you’re picking up on the work of the art director.
Where Do Art Directors Work?
Art directors work throughout media in advertising, in book publishing and at magazines. Art directors usually specialize in one sector -- focusing on, say, advertising or book publishing -- and the type of work they do varies on their subset of the industry. At magazines art directors conceive of layouts and the art that will match up with the various stories in the magazine. At book publishing houses art directors often focus solely on book covers, hiring designers to create those covers and overseeing their work. (An art director at some book publishing houses may also do some of the designing.) At ad agencies art directors, usually working with acopywriter, create the images that go with an ad campaign. At ad agencies art directors may specialize in a specific area, such as print (creating ads for magazines), TV or Web.
How Do You Become an Art Director?
Most art directors have degrees from art schools, where they’ve studied graphic design, photography and drawing. (A background in graphic design is usually essential for most art director jobs today.) In today’s job market art directors also need to know various computer programs (most run on Macs) that allow them to work with everything from photographs to font sizes. While photoshop is a standard program all art directors should know, this is just one of many. For more on specific programs art directors should know, you can check out this video.
Art directors who’ve gone to art school are usually trained in the computer programs needed to get jobs in the field. Art schools will also provide candidates with a portfolio, which is necessary to land most jobs in this field. Art directors, who often work up to that title (from assistant positions), need to show examples of their work. Someone looking to work as an art director in an ad agency, for example, need to show a potential employer sample ad campaigns he’s created. To get these samples, you need to have experience from an internship or from your art school experience.
  1. Artists
  2. Art Appraisers, Brokers and Dealers
  3. Art Auction House Staff
  4. Curators
  1. Art Galleries
  2. Art Museums
  3. Other Careers in the Fine Arts






Concevoir, superviser
Qualité de papier, harmonie de couleurs et de photos... pour un magazine haut de gamme. Gros titres et colonnes serrées pour des quotidiens d'information. Musique douce et tournage en extérieur pour un spot de pub... le directeur artistique (DA) conçoit et supervise la création graphique d'un journal, d'un message publicitaire, d'un site web, d'une affiche, d'un emballage...
Présent du début à la fin de la chaîne, il crée une identité visuelle, convainc le client de la valeur de son idée et, enfin, encadre la réalisation du produit.
Élaborer une charte
Dans la presse et l'édition, le DA élabore la charte graphique (choix des styles de caractères, taille des photos, emplacement du logo...) d'un magazine ou d'une collection. Dans la publicité, on parle de maquette mais aussi de rough (esquisse du projet) ou de story-board (scénario d'un film sous forme de BD). Le DA, chargé de l'image, forme un tandem avec le concepteur-rédacteur qui se penche, lui, sur le texte.
Assurer le suivi technique
Dernière étape : le suivi technique du choix des sous-traitants (photographes, illustrateurs, réalisateurs de films...) au contrôle du tournage ou de l'impression.

Compétences requises

Créatif, curieux, convaincant
Créatif, un directeur artistique doit faire preuve d'imagination. Curieux, observateur, intuitif, il doit avoir un vrai sens de l'esthétique. À l'affût de la moindre nouveauté (expos, vitrines, mode vestimentaire), il possède une solide culture générale, notamment en matière d'images, de cinéma ou de littérature. Tenace et convaincant, il s'exprime avec aisance.
Autonome et gestionnaire
Autonome, réactif et rigoureux, le DA doit respecter des délais et des budgets toujours très serrés. Pas question de négliger non plus le côté technique du métier pour atteindre les objectifs commerciaux. Le DA doit maîtriser la photographie, la photogravure, la composition, l'imprimerie, la conception et publication assistées par ordinateur (CAO et PAO).



Le directeur artistique est celui qui supervise de A à Z la conception graphique d’un projet. Créatif par excellence, c’est lui qui élabore l’identité visuelle d’un magazine, d’un spot télé ou d’un journal.
Il élabore avec son équipe une charte graphique précise qui permettra au lecteur de reconnaître un magazine du premier coup d’oeil.
En publicité, il forme équipe avec le concepteur-rédacteur qui aura la charge de trouver le bon slogan ou le texte qui convient à l’image. Le directeur artistique, outre sa grande expérience, devra faire preuve d’originalité, de curiosité, d’une capacité au travail d’équipe et d’une excellente formation artistique.


Test de managemment


Le Directeur Artistique vu par AACC

Quel que soit le type d'agence (Publicité, Marketing Direct, Promotion, Communication Santé ...), la fonction création repose sur un directeur de création qui anime des équipes de créatifs (concepteurs-rédacteurs et directeurs artistiques)..
La création représente la griffe de l'agence et son image de marque vis-à-vis de l'extérieur.
Le service créatif doit pouvoir résumer la stratégie commerciale en une idée simple, forte et concise et la traduire en données artistiques.
La fonction création en agence s'exerce généralement sous forme d'un duo composé d'un Directeur Artistique et d'un Concepteur - Rédacteur. Le travail du directeur artistique est axé sur l'image, celui du concepteur-rédacteur est axé sur le texte.

Le directeur artistique et l'équipe de création mettent en forme le produit publicitaire, à partir de la stratégie de communication fournie par le service commercial et à partir du choix des supports par le service média.

Ses missions. Elles s'orientent autour de trois axes :

La conception : 
· Il recherche les idées visuelles de la campagne en fonction du support choisi (annonces de presse, spots, radio, T.V., affiches).
· Plusieurs projets sont élaborés. C'est une phase d'échanges permanents avec le concepteur-rédacteur afin d'articuler le visuel et les textes.
· Un projet est concrétisé soit par une maquette, soit par un "rough" (visualisation des éléments essentiels) ou par un "story-board" (scénario d'un film sous forme de BD). Peut intervenir dans cette phase un exécutant PAO (parfois le DA lui-même) qui travaille avec les logiciels de type X-Press, Illustrator, Photoshop ... · Il est ensuite discuté à plusieurs reprises par le service commercial avant d'être soumis au client.

La négociation : 
· Le projet est présenté au client par le duo directeur artistique et concepteur-rédacteur et par le service commercial.
· Afin de convaincre le client de l'efficacité du projet, ils doivent rationaliser leur démarche et trouver l'argumentation la plus percutante.

Le suivi technique : 
· Le directeur artistique pilote une équipe de graphistes et de prestataires extérieurs : photographes, illustrateurs, réalisateurs de films, etc....
· Il collabore à la préparation et à la réalisation des documents afin que ceux-ci s'inscrivent bien dans l'optique de la campagne définie.
· Il choisit les caractères typographiques des textes, veille au cadrage des photographies.
· Il communique au maquettiste toutes les indications nécessaires à l'exécution définitive de la maquette avant impression.

Les qualités requises :
Des qualités d'imagination et de créativité sont indispensables. Curiosité d'esprit, sens de l'esthétique et du dessin, don d'observation, intuition, sont les qualités nécessaires pour réussir dans ce métier. Le sens du contact et de la psychologie, une bonne expression ainsi qu'une bonne culture générale constituent des atouts supplémentaires. Polyvalence technique et dons artistiques se conjuguent : connaissances en graphisme ainsi que dans les spécialités concourant à l'élaboration d'un document publicitaire (photographie, photogravure, composition, imprimerie) sont nécessaires.

Le directeur artistique doit par ailleurs prendre en compte la réalité avec beaucoup de pragmatisme afin de respecter les contraintes budgétaires et l'efficacité commerciale. Cet emploi requiert une faculté d'adaptation et d'intégration au sein d'une équipe. Comme tout créatif, il doit se tenir "branché "et être à l'aise dans la vie de son époque afin de mieux l'exprimer et en saisir l'évolution. Le talent, l'ambition et l'enthousiasme serviront l'évolution de sa carrière.

Par exemple, pour un directeur artistique interrogé, les qualités nécessaires pour exercer ce métier : avoir une bonne culture générale, avoir l'esprit de synthèse, être ouvert, savoir écouter, regarder. Pour un autre, il faut de l'imagination, le sens de la création et de l'image, celui de la mise en page, et bien sûr le goût pour la publicité, savoir se remettre en cause et ne jamais se reposer sur ses acquis. Ces qualités leur permettent d'exercer un métier qu'ils aiment, leur procure la satisfaction de donner une forme à une idée abstraite.


Le Directeur Artistique vu par Studya
Compétences 
Il recherche les idées visuelles des campagnes de communication en fonction de l'image de marque du produit et du support choisi (annonce de presse, affiche, spot télé…).
Il présente la maquette du projet au client afin de le convaincre de l'efficacité de la campagne.
Le DA dirige et anime une équipe de maquettistes.
Il choisit les sous-traitants (photographes, réalisateurs de films…) et assure le suivi.
Il est imaginatif, créatif, curieux, a le sens de l'esthétique, du contact, une culture de l'image, des dons artistiques et techniques…
Formation
Il n'existe pas de formation spécifique, les parcours d'accès à ce métier sont très variés.
Bien sûr, une formation artistique est indispensable (arts décoratifs, beaux arts…) et le niveau de culture générale est déterminant.

Débouchés
La recherche du premier emploi est difficile, les jeunes sont davantage jugés sur la présentation de leurs réalisations (Book) que sur diplôme. L'évolution de

 Peux-tu nous donner une brève description de toi, de ton parcours.

J’ai commencé y’a 7/8 ans par me retrouver en BTS pour finir vendeur de chausse pied, c’était une des suites logique de ma scolarité mais j’avoue que c’était loin de me faire rêver.
J’ai réussi à changer rapidement pour aller dans une école d’arts appliqués et là c’était le pied ! J’y ai passé 4 ans, histoire de l’art, croquis de nus, maquette/volume (oui avec les mains du scotch et tout) jusqu’à l’infographie orientée print avec la panoplie Xpress, photoshop, Illustrator et aussi des très bons profs pour le coup (sortez les violons :))
De là j’ai commencé les stages obligatoires liés au cours et j’ai pris une grosse claque en voyant mes premiers sites en Flash, Secret garden of mutabor, skatejam2000 d’Eric jordan, Yugop ou encore Mad Rhino etc. J’ai capté que je voulais faire çà et tout de suite ! Bon là les gros bugs de compatibilité entre Flash4 et moi commencent et me laisse vite, pendouiller les bras ballants, seul devant l’écran…
Après ça, il y a eût un petit passage chez Orange Art puis un CDI chez Soleil Noir jusqu'à aujourd’hui…
Ah, j’ai zappé le coté perso…:)
J’ai 26 ans, né en banlieue sud de paris, une vie tranquille avec mon amoureuse dans le 17 éme et pour le reste, du skate, du design et du son…

. J'avais dit brève :P... Quelle est selon toi l’importance d’une école d’art graphique dans le parcours pro d’un DA ?

Son importance si elle en a une, serait d’ouvrir les yeux du « DA », si on prend une école d’art graphique au sens large, je crois que cela aide (pas forcément dés le début) à raisonner dans ses compositions, dans les choix typographiques, dans la mise en valeur de certains éléments importants etc. Comme je l’ai dis, cela n’apporte pas ces fruits forcément tout de suite, car ça fait partie d’un processus de développement personnel aussi, il n’y a pas de méthode précise pour créer une affiche ou un site web on peut se permettre un tas de choses mais c’est plus facile de faire n’importe quoi lorsqu’on à eu certaines bases que le contraire…

. Existe-t'il une spécialisation DA ?

Hmm…Je ne crois pas…sauf sur le papier peut-être.

. Que penses-tu des autodidactes ? Quelle formation preconises-tu ?

Question difficile, du moins, réponse difficile…Je vois un peu de tout en fait, en surfant ou physiquement, je rencontre des gens qui sont autodidactes dans ce milieux, et parfois ils te font même regretter d’avoir pris la même voie qu’eux, tant leur réalisations sont cohérentes, leur compositions sont d’une maturité hallucinante, il y a un vrai feeling graphique/artistique celui qui ne s’apprend pas justement.
Et au contraire, d’autres font des choses très naïves où l’on ressent le manque de culture graphique, de travail, et peut-être de « formation ». Le profil « je connais photoshop donc je suis graphiste » auquel on s’habitue assez vite, me fatigue en fait.
Au final il n’y a pas de panier dans lequel on pourrait mettre les autodidactes, il y a des bons et des mauvais comme pour les autres…et pour ce qui est des formations, ben je pense notamment que beaucoup d’entre elles peuvent former au softs du métier mais pour le reste, il y à le talent.

. Tu es le DA de soleil noir, qui commence à faire énormément parler d’elle, surtout avec les FWA/ ITA remportés. La reconnaissance de nos voisins américains Ultrashock. Comment en es-tu arrivé là ?

Ben déjà pas tout seul !
Tout d’abord, il y les personnes grâce à qui nous avons ces projets, ben oui c’est pas moi qui vais les chercher non plus :). L’un d’entre-eux à son interview sur ITA justement…
Ensuite,on est souvent en team pour les travaux que l’on fait, donc le mérite va à tous ceux qui ont mis leur pattes dedans. Et sinon, il y a eût les projets plus perso qui ont eut de bon retours également et là, ben je ne sais pas trop quoi répondre en fait, je pense notamment au BD4D en mars dernier, je connaissais l’événement mais le jour philippe Gully m’à invité et proposé de faire une anime pour les 3 minutes de folies, j’avoue que j’ai pas trop compris mais j’étais hyper content :). J’étais en panique quand s’était à mon tour de passer, tu sais pas comment les gens vont réagir et au final ça à été bien reçu… j’ai eût des contact avec Ryan & Ryan du BD4D, Miko d’Ultrashock et plein d’autres encore.
Avec synthesis01.com également, beaucoup de rencontre qui font que à droite à gauche on parle de toi, de tes travaux et puis ben…et puis voilà :).
Derrière tout ça, y’a aussi et surtout du travail et encore du travail, je crois pas qu’on peut arrivé un jour quelque part sans un minimum d’efforts et de passion. J’essaye de faire mieux à chaque fois et ça ne marche pas forcémént…

. Pourquoi évoluer en studio et pas en freelance ?


Parce que j’y suis bien, les projets sont intéressants l’ambiance est bonne, l’univers du travail est donc suffisamment agréable, j’ai pas envie de me prendre la tête avec le freelance…
Je peux avoir quelques petits projets perso du coup pour moi qui me font plaisir J
Ca peut éviter aussi de confondre la vie et le taf qui peuvent vite ne faire qu’un, je crois qu’il est nécessaire de faire autre chose à coté.

. Penses-tu avoir les mêmes libertés créatives , peux-tu nous donner ton avis là-dessus ?

Oui bien sûr, je ne vois pas en quoi cela changerait mes libertés, tant que ça fonctionne avec le client. La chance que l’on a de part la taille de notre structure, c’est que je n’es pas de compte à rendre à 36 personnes en plus du client. Après la lecture du brief et la formulation des axes créatifs, tout le monde est là pour travailler dans la même direction et donc pas de soucis de se faire descendre par le commerciale qui ni connaît rien et qui te dis « moi c’est le rouge là que j’aime pas ». Nos partenaires et boss sont là pour défendre nos intérêts et ils le font très bien.
Évidemment on fait des modifs et des concessions mais ça c’est pour tout le monde :).

. A ce propos, le site du studio est en refonte...en exclu quoi de neuf ?

Bah il sera peut-être sortie avant cette interview, et sinon, hmmm…y’aura pas de 3D :)…
Nan, je pense qu’il servira bien son rôle, un portfolio simple qui nous reflète sans tape à l’œil. Blingbling ! Certaines petites fonctionnalités que l’on voit peu et puis on s’est fait plaisir dessus, alors j’espère que ça se verra.

. Que penses-tu de la scène française en graphisme?

Je pense qu’elle se porte bien, certains sont plus connus à l’étranger qu’ici, d’autre se prennent pour le nombril du web et bavent bien … c’est le graphisme à l’image de la France quoi :). On a un tas de personnes intéressantes qui je crois ne défendent pas leur pays ou leur travaux comme un titre de noblesse mais qui évolue à droite à gauche dans l’univers du graphisme en suivant ce qui ce fait et c’est bien. Chacun y développe sa sauce en cherchant l’inspiration, je discutait l’autre jour avec « Fish » ( talentueux designer d’ailleurs ) ou on se refilait nos preview de nouveau site ( perso) et on avait le même problème, de chercher un truc qui soit efficace,original et qu’on arrive à mener à terme sans s’en lasser…c’est pas évident de se sortir de ça . Peut-être qu’on est tous pareil au final ?

. Probablement… et la scène internationale ?

On entend moins parler des pays nordiques en ce moment :)
Les gens qui cartonnent bien viennent plus souvent d’Europe c’est derniers temps, plus de Russes, d’Italiens, d’Espagnols sur le devant de la scène, en fait c’est un peu un cycle ou chacun trouve sa place, ça tourne, tant mieux.
Je ne connais pas tout non plus donc ça reste mon sentiment pour le moment…

. Qui sont tes designers favoris ? Des noms, des noms ?

- Topor pour ça claque avec la Planète Sauvage.
- Les designers d’habitat skateboard ( je crois qu’il a Dan Peterka dans le lot) ils ont fait des trucs bien novateur y’a un bout de temps déjà…
- Epyt le pote de bradley Gosh pour ces trucs affolants vecto 3d rose bonbon !( designgraphik je crois )
- Jay One parce qu’il connaît l’origine de beaucoup de mouvements, et sa vision est souvent de bon conseil.
- Johnatan Clark pour Afterlife qui m’a vraiment plus, il est rentré en contact avec moi l’année dernière bien sympa en plus.
- Benny de sixstation, ces trucs sont très classes !
- Les personnes qui ont fait cubix robot for eveyone. ( 4kids entertainement )
- Et pis pleins d’autres quoi :)

. Quelles sont tes principales influences ?

Ben c’est un peu dans la réponse du dessus pour le reste, ça peu venir de n’importe quoi, marcher dans la rue, voir un film, ouvrir la carte dans un restau…partout, parfois il suffit de regarder sa salle de bain pour avoir envie de prendre une photo et d’en séparer les éléments pour songer à une anime vidéo ou flash.
Avec la musique aussi, selon le style des productions, il y a le même rapport qu’au design, certains mélangent 10000 échantillons pour sortir des sonorités incroyables et d’autre ne se servent que d’un break pour te jeter en l’air, et sa peut t’inspirer ou te faire penser à un truc en rapport… En ce moment, je m’inspire du fait que je n’ai pas d’inspiration, ça peut paraître con, mais ça marche.

. Tu bosses avec quoi (outils, matos) ?

En perso j’ai un portable Toshiba haute def avec la machinerie qui suit assez bien derrière,
Au boulot, un Dell bien membré avec un 21 pouces . Le tout ( perso/boulot) me donne assez de satisfaction, ça manque un peu quand même dés qu’on touche à la vidéo, certains truc ne sont permis mais c’est tout… Je ne suis pas dans le tunning informatique.
Pour les softs : Illustrator, Photoshop, Flash, After effetcs, Premiere (moins), Sound Forge, Acide, IE, Quicktime…

. Combien de temps par jour passes-tu devant l’écran ?

Une bonne dizaine d’heures parfois plus, parfois moins…super la réponse :)

. Quels sites conseilles-tu à tous les graphistes/ designer ?

Bah c’est pas très original, pour ce tenir au jus, il y à tous ces portails de graphisme/webdesign que je consulte très souvent : Newstoday, ComputerLove, Surfstation, BD4D, Praktica etc.… les sites d’awards également, tu les as cités entre autres plus haut et sinon, les sites d’images/vidéos banque pour avoir des ressources de départ, voir si un truc fonctionne par exemple.

. En tant que DA, tu mets encore la main à la patte ou tu organises les équipes de graphistes en formulant les axes créatifs ?

Oui la main à la patte heureusement !! Et plus encore, on est là pour faire le travail pas pour faire faire ! Je me demande quel plaisir j’aurai au final si je devais « formuler les axes créatif » uniquement ? Et pis on n’est pas 200 non plus hein :)

. Quelle est ta vision de l’évolution des tendances à court-moyen terme ?

On sort un peu des sites standard style templates qui ont été vus et revus pour se diriger vers des choses plus conceptuelles, la tendance, je ne sais pas vraiment, moins de vecto déjà, de plus en plus de vidéo mixer dans flash, je pense que la nouvelle version de Flash va ouvrir de nouvelles portes, et pourra donner un renouvellement intéressant de ces fameux standards. Jusqu’à ce que tout le monde bug à nouveau…difficile de savoir de quoi l’avenir sera fait, rétro futuriste à la Carot et Jeunet ? truc sales et torturés ? tout à déjà été fait j’ai l’impression donc…

. Es tu toujours autant passionné par le graphisme ?

Oui même si passer autant d’heures par jour dans le même milieu rend un peu hermétique à la longue, j’arrive encore à trouver de la satisfaction, donc la passion reste.

. Penses-tu qu’on se copie/inspire trop en webdesign ? Plus que dans l'édition ?

Ben, plus, non, mais on se regarde tous c’est sûr donc ma réponse est un peu liée à l’évolution des tendances, Quand on voit quelque chose de « beau », on a envie d’en faire autant, ou du moins on se laisse guider instinctivement par ça., Ce n’est pas évident d’arriver dans un milieu que l’on a pas créé et d’en redéfinir les règles à coup de flash ou autres, il faut du temps pour se trouver, pour se sentir de créer seul sans ouvrir un bouquin ou un site avant, et puis après il y a le budget/projets que tu as, qui défini par lui-même certains axe graphique plus adaptés. Après il y a le plaisir de faire qui rentre un peu en compte, le petit défi que tu te lance genre « tiens j’ai vu ça, ça à l’air balaise je vais essayer dans mon coin » tu me parlais de passion juste avant, c’est aussi ça , le truc que tu arrives à faire qui te donne beaucoup de bonheur/satisfaction le petit script qui te plait ou le visuel bien fignolé à la manière de … d’où l’inspiration/copie qui peut devenir un atout si quand tu maîtrise un truc tu peux t’en servir à une autre sauce et ça fonctionne…demain tu pourra créer ce que tu veux sans avoir à te demander, c’est copié ? oui ? non ?





Le Directeur Artistique (DA) en agence de publicité vu par Elaee


Dans la rubrique "Zoom sur une fonction", Capital.fr nous a demandé notre avis sur le métier de DA en agence de publicité. 

Le directeur artistique en agence de publicité travaille de paire avec le concepteur-rédacteur pour élaborer les campagnes à partir du brief des annonceurs. Une fonction qui nécessite sensibilité artistique, résistance à la pression et propension à se renouveler constamment. Explications de Claire Romanet, à la tête du cabinet de recrutement Elaee, spécialisé dans les métiers de la création.

Capital.fr: Quel est le rôle d’un directeur artistique (DA) en agence de publicité ? 

Claire Romanet : Le DA est un créatif, qui conçoit l’identité visuelle d’une marque, d’un produit, ou d’un service. Il imagine des concepts qui se déclineront en communication media (affichage, magazine, internet, TV, radio…) ou hors-media (événementiel, marketing direct, relations publiques…). Concrètement, il choisit la nature de l’image, l’univers esthétique, la composition, la typographie des textes, la hiérarchie des informations, etc.
Il travaille la plupart du temps en « team creatif », c’est-à-dire en binôme avec un concepteur-rédacteur qui se penche davantage sur la partie textuelle du message.

Capital.fr : Est-il en contact avec les clients de l'agence?


Claire Romanet : Le « brief », qui expose les objectifs et la stratégie de l’annonceur, est donné par les commerciaux. Ce sont eux qui sont en contact avec le client, le DA ne rencontrant ce dernier qu’au moment de lui présenter la maquette quasi-finie. La team est aiguillée dans sa réflexion par la cellule du planning stratégique, qui lui donne des clés sur les tendances du marché, sur les comportements des consommateurs. Il n’est pas rare que plusieurs teams travaillent sur un même projet.

Capital.fr: Quelles sont les qualités personnelles et professionnelles nécessaires au DA ? 

Claire Romanet : Même s’il est censé savoir faire un « rough » (une illustration sommaire, ndlr) ou maîtriser la PAO (publication assistée par ordinateur, à l’aide de logiciels comme Photoshop, Illustrator, InDesign), les compétences techniques ne sont pas ce qu’on attend de lui en priorité. Un DA se doit avant tout d'être un apporteur d’idées. Ensuite, il les fait réaliser par l’équipe qu’il manage, composée de photographes, illustrateurs, metteurs en page.
Côté tempérament, une certaine résistance psychologique est indispensable, car à la dimension artistique de ce métier s’ajoute la pression des résultats.
Le DA a souvent très peu de temps pour travailler sur un projet, et donc pour trouver l’inspiration. Et comme le DA planche souvent sur deux ou trois projet à la fois, ce qu’on appelle dans le jargon les « charettes », c'est-à-dire être très en retard sur le planning, font partie du job.
Enfin, mieux vaut ne pas être réfractaire à l’idée de compétition, car les clients remettent régulièrement en jeu leur budget publicité et il s’agit de se battre pour le conserver ou l’obtenir. Pour les gros budgets, il n’est pas rare qu’une douzaine d’agences participent à l’appel d’offres.

Capital.fr: Décrivez nous la trajectoire classique d’un DA depuis ses débuts… 

Claire Romanet : Les places sont chères. Le premier stage, obtenu sur présentation d'un book, définit souvent la carrière. S'il est réalisé dans une agence renommée, il donne plus de chances au candidat de rejoindre une telle structure pour son premier poste.
Le parcours habituel est de devenir assistant DA au cours d’un stage, puis DA junior pendant deux ou trois ans, puis DA senior. Certains occupent alors un poste de senior toute leur carrière. D’autres évoluent vers le poste de directeur de création et encadrent alors toute l’équipe de créatifs, DA compris. Le métier change, dans ce cas, puisqu’il faut davantage gérer les hommes et impulser l’identité créative de l’agence.
Une autre solution est de devenir free-lance ou de monter sa propre agence.

Capital.fr: Quelle est la recette de ceux qui font une belle carrière ? 


Claire Romanet : Cette profession peut être usante. Solliciter ses neurones en permanence pour trouver des idées géniales, ce n’est pas donné à tout le monde ! Il ya souvent un moment critique, autour de la quarantaine. Ceux qui réussissent sur le long terme sont ceux qui parviennent toujours à trouver un nouveau souffle en restant curieux, ouverts d’esprit, et en se remettant en question. Bref, ne se reposent pas sur leurs lauriers après deux ou trois réalisations marquantes.